Mon essai intitulé La Réversibilité, «le grand mystère de l’univers» est enfin disponible à la vente. Vous pouvez dès maintenant le commander sur la plateforme de vente de Lulu.com en cliquant ici. J’ai choisi ce système de publication car il illustre pour moi les bienfaits de la mondialisation (sujet que j’ai développé dans mon ouvrage). L’ouvrage est écrit par un docteur de la Sorbonne. L’impression est réalisée en Espagne. Les transactions enfin sont effectuées aux Etats-Unis. L’échange satisfait toute les parties en présence : moi, eux et vous j’espère…Un autre livre devrait paraître le mois prochain. Il viendra enrichir la collection « théologique » des Éditions de Sombreval.
Petite information utile : après la commande, il faut compter une vingtaine de jours pour recevoir l’ouvrage.
Mon essai sur la réversibilité a fait l’objet de critiques très positives dont vous trouverez ci-dessous quelques extraits :
Pierre Jourde, écrivain, critique, auteur de la Littérature sans estomac : « Ce travail examine la postérité, au XIXe siècle et au XXe siècle, de l’idée développée par Joseph de Maistre dans Les Soirées de Saint-Pétersbourg, selon laquelle les innocents paient pour les coupables. Il suit également la trace de la notion de réversibilité, depuis les Pères de l’Eglise, Saint Paul, Origène, jusqu’aux illuministes et aux théosophes, Maistre constituant le point de passage entre la tradition et les modernes [… ] Presque tous les chapitres séduisent par leur concision et leur clarté. C’est dans l’ensemble l’une des grandes qualités de ce volume que de développer des analyses très approfondies dans un style toujours limpide et ferme […] La cohérence de cette doctrine est pesée avec discernement chez les différents auteurs examinés. Aucune des nombreuses questions, des difficultés soulevées par la doctrine de la réversibilité n’est esquivée, celle-ci trouvant son sens profond dans l'idée de la responsabilité cosmique de l'homme...»
André Guyaux, professeur à Paris IV-La Sorbonne, spécialiste de Rimbaud, Baudelaire, Huysmans : «…Deux objections peuvent être faites : Nicolas Mulot aurait pu s’intéresser davantage à la genèse du dogme maistrien : le choix qu’il fait d’œuvres et d’auteurs, et le fil même du développement gardent un aspect capricieux, sollicitant à l’occasion d’autres domaines que la littérature, comme le cinéma, et d’autres littérature que la littérature française. Sans doute pouvait-on intégrer à cette vaste question beaucoup d’autres œuvres, et y inclure des textes moins conformes à la thèse maistrienne. Mais Nicolas Mulot est animé par une foi. Il sait où il va et ne dévie de la forte conviction qu'il a d'une raison et d'un mystère concentrés dans l'idée de réversibilité. Cette foi fait aussi qu'un souffle passe dans cette étude, toujours bien écrite, dans un style oral, et même oratoire, qui convient sans doute au sujet, un style qui n'est pas exempt, par moments, d'une certaine théâtralité, mais qui n'est jamais outré […] Nous sommes persuadés que Nicolas Mulot a donné là, malgré un point de vue qui peut paraître parfois radical, un ouvrage important…»
Antoine Compagnon, professeur à Paris IV-La Sorbonne, à l’université Columbia et au Collège de France (lire sa Leçon inaugurale, auteur des Antimodernes, de Joseph de Maistre à Roland Barthes parus chez Gallimard : « …M. Mulot livre à ses lecteurs un essai élégant, parcourant quelques œuvres des XIXe et XXe siècles marquées par la pensée de Maistre. Les lectures de M. Mulot sont copieuses, et certains de ses développements sont très séduisants, comme une vignette inattendue sur le film It's Wonderful Life de Frank Capra. Les trois parties de cet essai ont leur cohérence : sur le sacrifice, la communion des saints, et le symbolisme du monde. On passe par de nombreux rapprochements éclairants. Nietzsche, de belles lectures de Bernanos, notamment des Dialogues des carmélites, bien sûr Dostoïevski et la pensée russe, Chestov, Berdiaev, Baudelaire, Emerson, Les Deux Étendards de Lucien Rebatet, livre culte de George Steiner, ici, excellemment analysé, Tarkovski, Maritain , Blondel […] Les rapports de la notion de réversibilité et celle, moderne et mathématique, de chaos, sont assez nets, comme lorsque Pierre Emmanuel affirme à propos de Bloy, que "sans le savoir, nos moindres gestes commandent selon d'imprévisibles rapports le cours entier de l'universelle Destinée", ou lorsque la réversibilité nous conduit avec Claudel, à la solidarité du "village planétaire" comme Corps mystique, et à internet avec Teilhard de Chardin. Chaque vie influe sur les autres vies : c'est bien la morale de Capra. La réversibilité mène à l’analogie et à toute la pensée symbolique, ce qui (…) ouvre aux deux parties suivantes, non seulement avec Bloy et Claudel, mais aussi Guénon, Maurice Zundel, Frank-Duquesne ou le père Boulgakov […] Au lieu d’internet on touche cette fois à l’écologie comme "solidarité cosmique" et enfin à la théosophie et à la "portée cosmique de la messe", aboutissement de toute cette réflexion sur la réversibilité, suivant benoît XVI. La réversibilité devient ainsi le grand mystère de l’univers…»
Pierre Glaudes, professeur à Toulouse-Le Mirail, a publié le Journal de Léon Bloy dans la collections "Bouquins" (2 volumes) : « …cette étude a le mérite d’exhumer des textes peu connus, de les mettre en résonance avec d’autres, plus célèbres et de renouveler ainsi notre conception de la réversibilité par une lecture toujours intelligente, qui rencontre les questions de notre temps (la mondialisation, l’écologie). »
Petite information utile : après la commande, il faut compter une vingtaine de jours pour recevoir l’ouvrage.
Mon essai sur la réversibilité a fait l’objet de critiques très positives dont vous trouverez ci-dessous quelques extraits :
Pierre Jourde, écrivain, critique, auteur de la Littérature sans estomac : « Ce travail examine la postérité, au XIXe siècle et au XXe siècle, de l’idée développée par Joseph de Maistre dans Les Soirées de Saint-Pétersbourg, selon laquelle les innocents paient pour les coupables. Il suit également la trace de la notion de réversibilité, depuis les Pères de l’Eglise, Saint Paul, Origène, jusqu’aux illuministes et aux théosophes, Maistre constituant le point de passage entre la tradition et les modernes [… ] Presque tous les chapitres séduisent par leur concision et leur clarté. C’est dans l’ensemble l’une des grandes qualités de ce volume que de développer des analyses très approfondies dans un style toujours limpide et ferme […] La cohérence de cette doctrine est pesée avec discernement chez les différents auteurs examinés. Aucune des nombreuses questions, des difficultés soulevées par la doctrine de la réversibilité n’est esquivée, celle-ci trouvant son sens profond dans l'idée de la responsabilité cosmique de l'homme...»
André Guyaux, professeur à Paris IV-La Sorbonne, spécialiste de Rimbaud, Baudelaire, Huysmans : «…Deux objections peuvent être faites : Nicolas Mulot aurait pu s’intéresser davantage à la genèse du dogme maistrien : le choix qu’il fait d’œuvres et d’auteurs, et le fil même du développement gardent un aspect capricieux, sollicitant à l’occasion d’autres domaines que la littérature, comme le cinéma, et d’autres littérature que la littérature française. Sans doute pouvait-on intégrer à cette vaste question beaucoup d’autres œuvres, et y inclure des textes moins conformes à la thèse maistrienne. Mais Nicolas Mulot est animé par une foi. Il sait où il va et ne dévie de la forte conviction qu'il a d'une raison et d'un mystère concentrés dans l'idée de réversibilité. Cette foi fait aussi qu'un souffle passe dans cette étude, toujours bien écrite, dans un style oral, et même oratoire, qui convient sans doute au sujet, un style qui n'est pas exempt, par moments, d'une certaine théâtralité, mais qui n'est jamais outré […] Nous sommes persuadés que Nicolas Mulot a donné là, malgré un point de vue qui peut paraître parfois radical, un ouvrage important…»
Antoine Compagnon, professeur à Paris IV-La Sorbonne, à l’université Columbia et au Collège de France (lire sa Leçon inaugurale, auteur des Antimodernes, de Joseph de Maistre à Roland Barthes parus chez Gallimard : « …M. Mulot livre à ses lecteurs un essai élégant, parcourant quelques œuvres des XIXe et XXe siècles marquées par la pensée de Maistre. Les lectures de M. Mulot sont copieuses, et certains de ses développements sont très séduisants, comme une vignette inattendue sur le film It's Wonderful Life de Frank Capra. Les trois parties de cet essai ont leur cohérence : sur le sacrifice, la communion des saints, et le symbolisme du monde. On passe par de nombreux rapprochements éclairants. Nietzsche, de belles lectures de Bernanos, notamment des Dialogues des carmélites, bien sûr Dostoïevski et la pensée russe, Chestov, Berdiaev, Baudelaire, Emerson, Les Deux Étendards de Lucien Rebatet, livre culte de George Steiner, ici, excellemment analysé, Tarkovski, Maritain , Blondel […] Les rapports de la notion de réversibilité et celle, moderne et mathématique, de chaos, sont assez nets, comme lorsque Pierre Emmanuel affirme à propos de Bloy, que "sans le savoir, nos moindres gestes commandent selon d'imprévisibles rapports le cours entier de l'universelle Destinée", ou lorsque la réversibilité nous conduit avec Claudel, à la solidarité du "village planétaire" comme Corps mystique, et à internet avec Teilhard de Chardin. Chaque vie influe sur les autres vies : c'est bien la morale de Capra. La réversibilité mène à l’analogie et à toute la pensée symbolique, ce qui (…) ouvre aux deux parties suivantes, non seulement avec Bloy et Claudel, mais aussi Guénon, Maurice Zundel, Frank-Duquesne ou le père Boulgakov […] Au lieu d’internet on touche cette fois à l’écologie comme "solidarité cosmique" et enfin à la théosophie et à la "portée cosmique de la messe", aboutissement de toute cette réflexion sur la réversibilité, suivant benoît XVI. La réversibilité devient ainsi le grand mystère de l’univers…»
Pierre Glaudes, professeur à Toulouse-Le Mirail, a publié le Journal de Léon Bloy dans la collections "Bouquins" (2 volumes) : « …cette étude a le mérite d’exhumer des textes peu connus, de les mettre en résonance avec d’autres, plus célèbres et de renouveler ainsi notre conception de la réversibilité par une lecture toujours intelligente, qui rencontre les questions de notre temps (la mondialisation, l’écologie). »