Une critique de mon livre



Une critique de mon livre
Il n’a pas fallu attendre longtemps. Les premières critiques de mon livre sont tombées. Ce sont les plus importantes car elles permettent de mesurer son impact auprès d'un public souvent réfractaire aux travaux universitaires. Les premiers lecteurs étaient d’éminents professeurs. J’attendais donc avec impatience le jugement des personnes extérieures au milieu universitaire ou à mon entourage et en particulier des lecteurs jeunes. Voici la critique d’un certain Eymerich qui, comme vous allez pouvoir le constater, manie la plume avec un certain panache. Elle a été diffusée vendredi sur le Forum catholique. Cette critique m’encourage à redoubler d’efforts pour diffuser mon livre...
Ps : je vous signale au passage qu'il est disponible chez Lulu.com mais aussi au Centre Saint Paul de l’abbé de Tanoüarn, au prix de 27 euros…Je cherche maintenant d’autres points de vente. N’hésitez pas à me contacter si vous avez une idée ou une proposition…

« Vous vous souvenez tous du conseil de Danny Boon : «Il faut lire !» n’est-ce pas ? Et bien j’ai un vrai bouquin à vous conseiller. Son titre : La Réversibilité «le grand mystère de l’univers». Son auteur : Nicolas Mulot.

C’est un véritable roman qui nous plonge au cœur du mystère catholique, celui de la communion des saints et de la réversibilité des mérites, celui de la souffrance et de la sainteté ; une fois ouvert, vous ne pourrez plus le refermer. Et c’est là que vous vous rendrez compte que vous venez de lire une thèse de troisième cycle qui a valu les félicitations du jury à son auteur devant un parterre impressionnant des sorbonnards les plus acérés.

Et là, vous ferez comme moi : vous tirerez votre chapeau au jeune docteur qui vous a fait vous sentir intelligent sans que ça fasse mal au cerveau.

Car cette thèse universitaire fuit comme la peste le jargon almamatérien qui d’habitude sert à camoufler le manque total de pensée de nos soi-disant élites.

Vous me direz que lorsque une étude porte sur des auteurs comme Bloy, Bernanos, Claudel, Dostoïevski, Baudelaire, Frank-Duquesne et bien d’autres, les mânes de ces derniers infusent forcément un certain talent de plume au thésard qui leur rend hommage. Le style est donc simple et nous guide en douceur vers les profondeurs du mystère, progressivement. Trop de lumière d’un coup fait mal aux yeux… Monter trop vite, ça donne le vertige et il faut aller au bout du voyage. Notre guide accomplit sa mission avec brio.

Le chercheur s’efface totalement devant l’objet de son étude. Il n’oublie pas qu’il touche au sacré. Il faut beaucoup d’humilité pour cela. Je vous garantis qu’à la lecture de certaines pages, de véritables abimes de contemplation s’ouvrent brutalement sous vos pieds. Ce n’est pas de la lecture, c’est une aventure mystique. Je pèse bien mes mots. Je remercie vraiment Nicolas Mulot de m’avoir fait découvrir des textes sublimes et des vérités trop méconnues, même par nous. Je le remercie de faire briller notre religion, d’en montrer la beauté.

Vous en connaissez beaucoup des thèse d’Etat qui se terminent par « Puisse-t-elle continuer à fortifier notre foi en Notre Seigneur Jésus-Christ » ?

Un catholique doit lire ce livre. Il doit le relire ensuite. Enfin, il doit le faire lire.

C’est ce que j’essaie modestement de faire.

Vous le trouverez
ICI

19/03/2007
Sombreval





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